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blog santé - Page 11

  • Recettes de produits naturels - Le chou fleur au raifort

     

    Le chou-fleur possède de nombreuses vitamines, dont les C, B et K, du soufre et du manganèse.
    et des fibres (2,5 g/100 g). Il renferme en outre une dose importante de minéraux, dont le magnésium, le calcium et le potassium (320 mg/100 g),


    Il soigne ou aide à soigner ulcère variqueux, eczéma, gangrène, brûlures, plaies ou contusions, anthrax ou phlegmon, bronchite, pleurésie, douleurs rhumatismales, névralgies, migraines, entorse ou foulure, sciatique, lumbago, enrouement, affections des bronches, toux, vers intestinaux, ampoules, piqûres d'insectes (guêpes, abeilles) ou d'araignées, rhumatismes, goutte, points de côté, dysenterie.
    Vous trouverez dans le produit Vitamine C aux légumes de nombreux éléments présents dans le choux

     

    Ingrédients (tous ces produits peuvent être issus de l'agriculture biologique) :

     

    400 g de chou fleur
    2 oignons
    20 g de beurre
    2 cuillères à soupe de crème fraîche épaisse
    10 g de raifort
    4 jaunes d'oeuf
    1 botte de cerfeuil
    sel, poivre

     

     

     

    Préparation :

     

    - Laver et tronçonner le chou fleur

     

    - Faire bouillir 30 mn. dans une cocotte

     

    - Pendant ce temps, dans une casserole, faire revenir les oignons à feu doux avec le beurre

     

    - Retirer de l'eau de cuisson du chou jusqu'à ce qu'elle recouvre le chou

     

    - Ajouter les oignons, assaisonner et laisser cuire 10 minutes après fermeture de la soupape.

     

    - Mélanger à part les jaunes d'œufs, la crème fraîche, le raifort et le cerfeuil, assaisonner et faire chauffer à feu doux

     

    - Passer le chou et le mettre dans un plat

     

    - Verser la sauce

     

     

  • Santé environnementale , la biosurveillance humaine - fin

     

    L’épidémiologiste N. Fréry, spécialiste des biomarqueurs à l’Invs, a dirigé l’étude d’imprégnation pour les dioxines.

     

    Les résultats de l’étude, réalisée auprès de 1030 personnes résidant près de 8 incinérateurs d’ordures ménagères, ne constatent pas de différence d’imprégnation entre les riverains d’incinérateurs et les résidents non soumis à une source connue de dioxines, l’imprégnation aux dioxines se situe dans la moyenne européenne. Une exception notée chez les agriculteurs, qui consomment des produits locaux et, dans une moindre mesure, chez les particuliers qui consomment des produits animaux localement, comme les œufs. N. Fréry, épidémiologiste, spécialiste des biomarqueurs et de la biosurveillance à l’Invs, en charge de l’étude : “même si les résultats sont plutôt encourageants, on incite les gestionnaires locaux à rester vigilants sur la consommation des œufs issus de sites contaminés ou anciennement contaminés, autour d’anciens incinérateurs. Car si l’herbe de repousse est très vite décontaminée, ce n’est pas le cas pour les œufs. En effet, les poules picorent la terre, mangent des vers de terre, et donc continuent à se contaminer. On conseille donc de ne pas les consommer. Les pratiques d’élevage familial sont à surveiller. ”

    Biosurveillance et gestion des risques

    « 
    Nous voulions répondre à la problématique au plan national, » explique N. Fréry . «  De nos observations, résultent deux études, une étude d’imprégnation par les dioxines et d’autres métaux et une étude écologique sur l’aspect sanitaire cancer. Les études de biosurveillance apportent les recommandations et informations nécessaires pour entreprendre des mesures de gestion collectives." Depuis, les incinérateurs première génération ont été remplacés et le taux d‘émission des installations réduit.
    Une autre étude nationale est en cours. Elle est suscitée par les nombreuses interrogations liées à la pollution par les PCB (polychlorobiphényles) de plusieurs cours d’eaux français (Rhône,Somme…), son retentissement sur la contamination des poissons et son impact sur la population consommatrice de ces poissons. Les premiers résultats sont attendus pour l’été 2010.

    L’atout de la biosurveillance est d’orienter les actions de gestion ou encore de fournir un signal d’alerte précoce, comme ce fut le cas aux Etats-Unis pour agir contre les PPDE. En France, la biosurveillance est à développer. D’une façon plus générale, le niveau environnemental n’est pas encore intégré aux plateformes scientifiques,il commence seulement à être exploré. En Allemagne, il existe déjà une commission nationale de biosurveillance.

     

     

     

  • Santé environnementale : la biosurveillance humaine

     

    L’épidémiologiste Nadine Fréry, spécialiste des biomarqueurs à l’Invs, a dirigé l’étude d’imprégnation pour les dioxines.© DR

     

    Comment déterminer l’impact des substances chimiques, notamment des polluants environnementaux, sur notre organisme. La biosurveillance humaine est un des outils capables de faire le lien entre expositions et effets sanitaires. L’Invs (Institut national de veille sanitaire) l’a expérimentée avec une étude nationale visant à déterminer l’impact des usines d’incinération sur la santé des populations vivant à proximité. L’épidémiologiste Nadine Fréry a dirigé cette étude. Selon elle, la biosurveillance doit être développée

     

    Lors de la préparation du Plan d’action européen en faveur de l’environnement et de la santé, la biosurveillance humaine a été définie comme « la surveillance de l’homme, en utilisant des indicateurs biologiques, dénommés « biomarqueurs ». Un biomarqueur peut être défini comme une substance chimique ou les produits qui en découlent présents dans le corps humain (biomarqueur d’exposition). On parle habituellement d’imprégnation pour décrire les concentrations de ce biomarqueur dans l’organisme. La biosurveillance permet donc, à partir de mesures très précises, de surveiller la présence et les effets sur l’organisme des substances chimiques, notamment des polluants environnementaux.

    Etude d’imprégnation pour les dioxines

    Face aux inquiétudes légitimes des populations riveraines des usines d’incinération d’ordures ménagères, l’Invs (Institut national de veille sanitaire) a réalisé une étude nationale sur le sujet. En partenariat avec l’Afssa (Agence française de sécurité des aliments), trois groupes d’experts ont été constitués en 2005. Un premier groupe s’est penché sur la problématique locale, un second a réalisé un état des lieux sur l’incinération et sur les rejets. Le troisième groupe s’est intéressé aux effets sanitaires, comme les cancers.

    à suivre

     

  • Recettes de produits naturels - Gâteau aux carottes

     

     

    La carotte augmente le nombre de globules rouges, conseillée donc contre l'anémie, mais aussi les troubles du foie et de l'intestin, les maladies de la peau (vitiligo, dartres, prurit, eczema, ulcères, abcès, panaris, furoncles), la déminéralisation, les vomissements et diarhée infantiles, l'ulcère à l'estomac et les vers intestinaux. La carotte est riche en sucre, vitamines B, C, D, E et bien sûr carotène, précurseur de la vitamine A, la vitamine des yeux.

     

     

     

     

    Ingrédients (tous ces produits peuvent être issus de l'agriculture biologique, agriculture verte ) :

    500 g de Carottes
    20 cl de crème liquide allégée
    1 oeuf
    200 g Sucre en poudre
    1 pincée de cannelle
    1/2 Citron ; jus et écorce râpée
    Gelée d'abricots

     Préparation :

    Nettoyer et râper les carottes dans un saladier.

    Séparer les oeufs et battre les jaunes avec la canelle, l'écorce de citron râpée et le jus de citron.

    Rajouter la crème fraiche battue avec l'oeuf battu, le sucre.

    Incorporer les carottes, bien mélanger.

    Verser la préparation dans un plat à gratin puis enfourner (thermostat 180° environ 50 min).

    Démouler le gâteau encore chaud.

    En recouvrir la surface d'une couche de geléeou confiture d'abricot.

     

    Service :

    Dans assiette à dessert

     

     

     

  • ECOLOGIE COMPORTEMENTALE : Tuer pour naître, un film stupéfiant sur la lutte biologique

     Un film produit par le CNRS dévoile les us et coutumes des insectes parasitoïdes.

     

    Véritables tueurs en séries, les insectes parasitoïdes jouent un rôle majeur dans la régulation des populations d'insectes. Une enquête scientifico-policière à travers l’Europe dévoile les comportements de ces tueurs aux capacités étonnantes…

     

    Sujet de recherches fondamentales, les insectes parasitoïdes constituent d’excellents modèles d’étude d’écologie comportementale. Ils représentent également un enjeu pour des recherches appliquées, notamment dans la lutte biologique où ils deviennent des auxiliaires précieux pour lutter contre des insectes ravageurs de cultures.

     Les parasitoïdes sont encore loin d’avoir révélé tous leurs secrets et de nouvelles pistes de recherche apparaissent…

     

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    Réalisateur : Luc Ronat

     

    Auteur scientifique : Eric Wajnberg (Inra) de l’équipe « Ecologie Comportementale et Moléculaire », Sophia Antipolis (France)

     

    Produit par CNRS Images avec la participation de l’ESF (2009, 28 min)

     

    Pour commander le DVD (français / anglais) http://videotheque.cnrs.fr

     

    Source : CNRS

     

  • les bienfaits écologiques des pompes à chaleur

     Quels sont les équipements écologiques à intégrer dès la construction d'une maison et qui sont vertueux ?

    L'incontournable pompe à chaleur :

    Une île comme la Réunion y est particulièrement habituée, elles font désormais partie du paysage réunionnais, et des priorités du PRERURE  et la Réunion est le département français le mieux équipé en chauffe-eau solaires aussi, quoique l'objectif de la région - un taux d'équipement de 100 % - ne soit pas encore atteint...

    C'est un équipement particulièrement intéressant sur les îles, du fait évidement de leur ensoleillement (mais aussi dans le Sud de la France, je crois que le taux d'équipements en pompe à chaleur à Perpignan est presque aussi élevé...), mais pas seulement : les trois principaux postes de dépenses énergétiques d'un ménage sont le chauffage, l'eau chaude et la cuisson... en métropole, puisque dans les îles, exit le chauffage et on cuisine au gaz (très utile lors des longues soirées sans électricité durant les cyclones...). Donc, si en plus, vous vous équipez d'une pompe à chaleur, votre consommation électrique annuelle se limitera à 3000 kWh (2300 kWh grâce aux conseils de Maud...!).

    Est-ce vraiment rentable ? Oui. par exemple un chauffe-eau solaire vous coûtera environ 2000 €, aux quels vous pouvez retirer un crédit d'impôt de 50 % de votre investissement (à déduire de votre impôt sur les revenus, et le Trésor vous envoie un chèque si vous n'êtes pas imposable), puis chaque mois, les économies en électricité. Par contre, ce mécanisme n'est pas valable si vous louez votre pompe à chaleur pratique que nous vous déconseillons.

    Et quelle pompe à chaleur (ou chauffe-eau solaire) choisir ? D'un point de vue purement esthétique, nous vous conseillons un ballon séparé des panneaux solaires, ce qui évite qu'il soit visible sur votre toit, les panneaux étant discrets car très fins. C'est à vérifier, mais nous supposons que le fait d'avoir son ballon à l'intérieur de la maison peut aussi permettre de limiter la fraîcheur de l'eau au petit matin, quand le soleil ne l'a pas encore réchauffée.

    Votre installateur vous conseillera sûrement, mais nous vous rappelons que la Réunion bénéficie d'un ensoleillement plutôt matinal, donc une orientation des panneaux vers l'Est semble judicieuse ! Enfin, pourquoi ne pas aussi utiliser un pompe à chaleur pour l'eau de votre piscine ? Cela vous permettra de profiter de votre piscine tout au long de l'année, sans vous ruiner et en limitant votre impact sur l'environnement !