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blog santé - Page 10

  • Recettes de produits naturels - La confiture d'oignons

     

    L'oignon est riche en soufre, en fer et en vitamine C. Il contient également de nombreux mineraux et vitamines. Attention aux estomacs fragiles.


    OIGNON.JPGIl stimule l'appareil digestif, nettoie l'intestin, lutte contre les matières mal digérées, prévient la nervosité, les insomnies, l'artériosclérose et l'hypertension, et même certains cancers. Il aide dans les cas de coliques néphrétiques, de calculs des reins ou de la vessie, d'œdèmes, de rétention d'urine, d'albuminurie, de goutte ou de rhumatismes. L'oignon est encore très apte à provoquer l'élimination des toxines par la sudation. Il est antiscorbutique, car riche en vitamine C, et antidiabétique, car l'un de ses principes actifs, la glucoquinine, abaisse le taux des sucres dans le sang.


    C'est un excellent médicament contre les rhumes et les angines.

     

     

    Ingrédients pour trois personnes (tous ces produits peuvent être issus de l'agriculture biologique) :

     

    - 2 cl d’huile
    - 500 g d'oignons
    - 1/4 l de vin rouge
    - Sel, poivre
    - 75 g. de sucre semoule

     

     

     

    Préparation :

     

    Eplucher les oignons et les émincer ou les couper en dés

    Verser l'huile dans une casserole avec les oignons, mélanger le tout.

     

    Cuire à feu doux jusqu'à obtenir des oignons translucides et tendres

     

    Ajouter le vin, le sel et le poivre

     

    Ajouter le sucre et mélanger régulièrement jusqu'à la réduction complète du vin

     

     

     

    Service :

     

    Avec des viandes rouges

     

     

  • Recettes de produits naturels - Salade de mâche

     

    La mâche est source d'omégas trois, de fibres, Sodium, Potassium, Magnésium, Phosphore, Calcium, Fer, Beta-carotène, Vitamines A, B1, B2, B6, B9, C, E

     

     

    Ingrédients pour quatre personnes (tous ces produits peuvent être issus de l'agriculture biologique) :

     

    Pour 4 personnes :
    200 g. de mâche
    2 betteraves rouges
    1 pomme
    quelques noix

    Sauce : huile de noix, vinaigre de cidre, moutarde

     

     MACHE.JPG

     

    Préparation :

     

    - Laver et ôter les racines des feuilles de mâche

     

    - Couper betteraves et pommes en dé

     

    - Ecoquer les noix

     

    - Mélanger doucement les ingrédients

     

     

     

    Sauce :

     

    - Mélanger l'huile, le vinaigre et la moutarde

     

     

     

    Service :

     

    Assaisonner au dernier moment

     

     

     

  • Recettes de produits naturels - Le chou fleur au raifort

     

    Le chou-fleur possède de nombreuses vitamines, dont les C, B et K, du soufre et du manganèse.
    et des fibres (2,5 g/100 g). Il renferme en outre une dose importante de minéraux, dont le magnésium, le calcium et le potassium (320 mg/100 g),


    Il soigne ou aide à soigner ulcère variqueux, eczéma, gangrène, brûlures, plaies ou contusions, anthrax ou phlegmon, bronchite, pleurésie, douleurs rhumatismales, névralgies, migraines, entorse ou foulure, sciatique, lumbago, enrouement, affections des bronches, toux, vers intestinaux, ampoules, piqûres d'insectes (guêpes, abeilles) ou d'araignées, rhumatismes, goutte, points de côté, dysenterie.
    Vous trouverez dans le produit Vitamine C aux légumes de nombreux éléments présents dans le choux

     

    Ingrédients (tous ces produits peuvent être issus de l'agriculture biologique) :

     

    400 g de chou fleur
    2 oignons
    20 g de beurre
    2 cuillères à soupe de crème fraîche épaisse
    10 g de raifort
    4 jaunes d'oeuf
    1 botte de cerfeuil
    sel, poivre

     

     

     

    Préparation :

     

    - Laver et tronçonner le chou fleur

     

    - Faire bouillir 30 mn. dans une cocotte

     

    - Pendant ce temps, dans une casserole, faire revenir les oignons à feu doux avec le beurre

     

    - Retirer de l'eau de cuisson du chou jusqu'à ce qu'elle recouvre le chou

     

    - Ajouter les oignons, assaisonner et laisser cuire 10 minutes après fermeture de la soupape.

     

    - Mélanger à part les jaunes d'œufs, la crème fraîche, le raifort et le cerfeuil, assaisonner et faire chauffer à feu doux

     

    - Passer le chou et le mettre dans un plat

     

    - Verser la sauce

     

     

  • Santé environnementale , la biosurveillance humaine - fin

     

    L’épidémiologiste N. Fréry, spécialiste des biomarqueurs à l’Invs, a dirigé l’étude d’imprégnation pour les dioxines.

     

    Les résultats de l’étude, réalisée auprès de 1030 personnes résidant près de 8 incinérateurs d’ordures ménagères, ne constatent pas de différence d’imprégnation entre les riverains d’incinérateurs et les résidents non soumis à une source connue de dioxines, l’imprégnation aux dioxines se situe dans la moyenne européenne. Une exception notée chez les agriculteurs, qui consomment des produits locaux et, dans une moindre mesure, chez les particuliers qui consomment des produits animaux localement, comme les œufs. N. Fréry, épidémiologiste, spécialiste des biomarqueurs et de la biosurveillance à l’Invs, en charge de l’étude : “même si les résultats sont plutôt encourageants, on incite les gestionnaires locaux à rester vigilants sur la consommation des œufs issus de sites contaminés ou anciennement contaminés, autour d’anciens incinérateurs. Car si l’herbe de repousse est très vite décontaminée, ce n’est pas le cas pour les œufs. En effet, les poules picorent la terre, mangent des vers de terre, et donc continuent à se contaminer. On conseille donc de ne pas les consommer. Les pratiques d’élevage familial sont à surveiller. ”

    Biosurveillance et gestion des risques

    « 
    Nous voulions répondre à la problématique au plan national, » explique N. Fréry . «  De nos observations, résultent deux études, une étude d’imprégnation par les dioxines et d’autres métaux et une étude écologique sur l’aspect sanitaire cancer. Les études de biosurveillance apportent les recommandations et informations nécessaires pour entreprendre des mesures de gestion collectives." Depuis, les incinérateurs première génération ont été remplacés et le taux d‘émission des installations réduit.
    Une autre étude nationale est en cours. Elle est suscitée par les nombreuses interrogations liées à la pollution par les PCB (polychlorobiphényles) de plusieurs cours d’eaux français (Rhône,Somme…), son retentissement sur la contamination des poissons et son impact sur la population consommatrice de ces poissons. Les premiers résultats sont attendus pour l’été 2010.

    L’atout de la biosurveillance est d’orienter les actions de gestion ou encore de fournir un signal d’alerte précoce, comme ce fut le cas aux Etats-Unis pour agir contre les PPDE. En France, la biosurveillance est à développer. D’une façon plus générale, le niveau environnemental n’est pas encore intégré aux plateformes scientifiques,il commence seulement à être exploré. En Allemagne, il existe déjà une commission nationale de biosurveillance.

     

     

     

  • Santé environnementale : la biosurveillance humaine

     

    L’épidémiologiste Nadine Fréry, spécialiste des biomarqueurs à l’Invs, a dirigé l’étude d’imprégnation pour les dioxines.© DR

     

    Comment déterminer l’impact des substances chimiques, notamment des polluants environnementaux, sur notre organisme. La biosurveillance humaine est un des outils capables de faire le lien entre expositions et effets sanitaires. L’Invs (Institut national de veille sanitaire) l’a expérimentée avec une étude nationale visant à déterminer l’impact des usines d’incinération sur la santé des populations vivant à proximité. L’épidémiologiste Nadine Fréry a dirigé cette étude. Selon elle, la biosurveillance doit être développée

     

    Lors de la préparation du Plan d’action européen en faveur de l’environnement et de la santé, la biosurveillance humaine a été définie comme « la surveillance de l’homme, en utilisant des indicateurs biologiques, dénommés « biomarqueurs ». Un biomarqueur peut être défini comme une substance chimique ou les produits qui en découlent présents dans le corps humain (biomarqueur d’exposition). On parle habituellement d’imprégnation pour décrire les concentrations de ce biomarqueur dans l’organisme. La biosurveillance permet donc, à partir de mesures très précises, de surveiller la présence et les effets sur l’organisme des substances chimiques, notamment des polluants environnementaux.

    Etude d’imprégnation pour les dioxines

    Face aux inquiétudes légitimes des populations riveraines des usines d’incinération d’ordures ménagères, l’Invs (Institut national de veille sanitaire) a réalisé une étude nationale sur le sujet. En partenariat avec l’Afssa (Agence française de sécurité des aliments), trois groupes d’experts ont été constitués en 2005. Un premier groupe s’est penché sur la problématique locale, un second a réalisé un état des lieux sur l’incinération et sur les rejets. Le troisième groupe s’est intéressé aux effets sanitaires, comme les cancers.

    à suivre

     

  • Recettes de produits naturels - Gâteau aux carottes

     

     

    La carotte augmente le nombre de globules rouges, conseillée donc contre l'anémie, mais aussi les troubles du foie et de l'intestin, les maladies de la peau (vitiligo, dartres, prurit, eczema, ulcères, abcès, panaris, furoncles), la déminéralisation, les vomissements et diarhée infantiles, l'ulcère à l'estomac et les vers intestinaux. La carotte est riche en sucre, vitamines B, C, D, E et bien sûr carotène, précurseur de la vitamine A, la vitamine des yeux.

     

     

     

     

    Ingrédients (tous ces produits peuvent être issus de l'agriculture biologique, agriculture verte ) :

    500 g de Carottes
    20 cl de crème liquide allégée
    1 oeuf
    200 g Sucre en poudre
    1 pincée de cannelle
    1/2 Citron ; jus et écorce râpée
    Gelée d'abricots

     Préparation :

    Nettoyer et râper les carottes dans un saladier.

    Séparer les oeufs et battre les jaunes avec la canelle, l'écorce de citron râpée et le jus de citron.

    Rajouter la crème fraiche battue avec l'oeuf battu, le sucre.

    Incorporer les carottes, bien mélanger.

    Verser la préparation dans un plat à gratin puis enfourner (thermostat 180° environ 50 min).

    Démouler le gâteau encore chaud.

    En recouvrir la surface d'une couche de geléeou confiture d'abricot.

     

    Service :

    Dans assiette à dessert