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blog santé - Page 5

  • Connaître son stress pour mieux le gérer

    1) Reconnaître le stress cumulatif

    Le stress cumulatif fonctionne comme un escalier: l’idée, c’est qu’on est bien et calme quand on est en bas des marches. Quand la pression monte, on gravit les marches et on s’éloigne de ce point de confort. Et plus on avance vers le haut, plus on aura besoin de ressources pour redescendre au point d’équilibre. Bon à savoir aussi, plus on s’élève vers le haut de l’escalier, plus les problèmes qui apparaissent deviennent chroniques, et plus la descente demandera du temps et de l’énergie.

    Pour éviter de monter trop haut, il faut apprendre à bien se connaître. Le corps émet des signaux qui devraient nous permettre de prendre à temps des mesures pour faire retomber la pression. Pour mieux connaître son système d’alarme interne, on repère et on liste ses «signalisateurs de stress». En vrac, ces indicateurs peuvent être physiques (fatigue, maux de dos, etc.), émotionnels (anxiété, irritabilité, cauchemars…), mentaux (trous de mémoire, manque de concentration ou de créativité…), relationnels (problèmes de couple, repli sur soi…) ou comportementaux (consommation accrue d’alcool, de tabac, hyperactivité…).

    Comment réagir ?

    Une fois qu’on a repéré un ou plusieurs signaux, on se programme rapidos une soirée DVD, un cours de yoga, un week-end à la montagne ou un dîner entre copines, bref, quelque chose qui nous relaxe et nous fait plaisir. A nous de voir de quoi se compose notre trousse d’urgence…

  • La montagne est une science inexacte

    Quelle prévention en matière d'accidents liés aux avalanches ? Pour une snowboardeuse professionnelle, elle passe par davantage de responsabilisation.

     

    avalanches.JPGGéraldine F., snowboardeuse professionnelle, sait que personne n’est à l’abri d’un accident en montagne, elle qui a vécu des expériences douloureuses. C’est pourquoi elle n’a pas envie de «faire des théories.» Cependant elle rappelle qu’en montagne, il n’est pas possible de tout expliquer. «C’est une science inexacte que même les personnes les plus informées ne peuvent pas toujours comprendre. Imaginer que la montagne puisse devenir un endroit 100% sécurisé est un leurre.» En matière d’avalanches, la jeune femme estime que la prévention doit avant tout passer par la responsabilisation personnelle. «Il existe plein de formations en prévention dans pratiquement toutes les écoles de ski et bureaux des guides des stations. Si on veut, on peut se former.»

     

    En matière d’information, elle estime que de nombreux renseignements sont disponibles sur des sites internet comme celui de l’Institut pour l’étude de la neige et des avalanches. «Le niveau de ski ou de snowboard fait aussi beaucoup, estime-t-elle. Une chute même moindre dans une pente de poudreuse peut faire partir une avalanche. »

     

    Pour elle, les mesures répressives comme la fermeture temporaire des zones à risque ou faire payer aux personnes les secours n’obtiendraient pas les effets escomptés.

  • Nos pieds ont besoin de soin au quotidien

    Nos petits pieds ont besoin de soin au quotidien.
    Voici quelques conseils pour les bichoner

    1. Baigner

    pieds.JPGC’est le passage obligé – une vingtaine de minutes – pour assouplir les callosités et préparer la peau au ponçage, qui ne doit, en aucun cas, être violent. Jamais de traitement trop agressif, notamment à la pierre ponce, susceptible de provoquer une inflammation à laquelle la peau répond en s’épaississant. On opte pour un geste souple et doux à l’aide d’une lime ou d’une râpe à gros-grain. Et sur pied bien séché, pour éviter tout développement fongique ! Armée d’une brosse à dents, on termine en brossant les ongles pour se débarrasser des petites peaux.

    2. Couper

    De préférence en carré, à l’aide d’une pince pour éviter les ongles incarnés à la repousse. On peut terminer à la lime, histoire de les arrondir légèrement, ce qui est toujours plus joli. On nous vante les mérites de la lime en verre, tout en douceur, et surtout hygiénique puisqu’on peut la laver à volonté.

    3. Regonfler

    La pression quotidienne sur les coussinets adipeux ou les talons antérieurs (à l’arrière des orteils) et postérieurs (qui amortissent la marche), les écrase. Exactement comme on le fait avec un oreiller en plume, que l’on regonfle le matin, il convient de leur rendre leur volume afin qu’ils retrouvent leur fonction dans l’amortissement du pied au sol. On pratique donc, chaque jour, des digito-pressions que l’on termine en hydratant pour restaurer l’élasticité cutanée. Soin sans glycérine, dont le baume de soin est formulé à base d’eau et de principes actifs végétaux dont des huiles essentielles. Le bon geste: masser la voûte plantaire et insister fortement sur les coussinets. Pratiquer ensuite des pressions au centre pour réactiver la circulation sanguine. Une vingtaine de secondes au moins par pied.

  • Masque à l’argile verte, pour peaux normales à grasses

    Prenez quelques minutes pour vous donner un petit coup d'éclat ! Avec l'argile verte, le grain de peau est affiné, les boutons et points noirs diminuent, et le teint est plus éclatant.

    Pour fabriquer ce masque, vous aurez besoin de :

    - 3 cuillères à soupe d’argile verte
    - 1 cuillère à café d’huile de rose musquée
    - 1 goutte d’huile essentielle de chaque :

    - laurier (Laurus nobilis)
    - niaouli (Melaleuca quinquinervia cineolifera)
    - géranium (Pelargonium asperum ou roseum)

    Technique:

    - Dans un bol, mélangez bien tous les ingrédients, puis appliquez sur le visage.
    - Laissez reposer de 10 à 20 minutes, puis rincez bien à l’eau tiède.

     

  • Que faire immediatement en cas d’intoxication par les plantes ?

    Sans attendre
    Sans attendre l’apparition des symptômes, appelez un médecin ou le centre antipoison.

    Appeler un médecin ?

    Si vous devez contacter un médecin ou le centre antipoison suite à une intoxication par une plante, essayez de leur communiquer un maximum d’informations afin de leur permettre d’agir au mieux. Parmi celles-ci :

    1. Le nom de la plante.

    2. Si vous ne le connaissez pas, arrachez une partie de la plante si elle est éloignée du téléphone et décrivez-la avec précision.

    3. La partie de la plante qui pourrait être la cause de l’empoisonnement : feuille, fleur, baie, branche, racine…

    4. La quantité ingérée supposée.

    5. Le type de contact supposé : ingestion, succion, toucher…

    6. Le délai écoulé depuis ce contact.

    7. Les réactions déjà visibles : diarrhée, éruption cutanée, dilatation des pupilles, démangeaison, larmoiement, vomissement…

    8. L’âge et le poids de votre enfant.

    9. Les particularités propres à sa santé : médicaments pris la semaine écoulée, maladies…

  • Que faire en cas d’intoxication par les plantes ?

    plantes.JPGNos jeunes enfants sont particulièrement exposés aux plantes toxiques. Le plus simple serait de s’en débarrasser, mais cela n’exclut pas tous les risques…

    Immédiatement

    En cas de contact avec des plantes toxiques qui provoquent une irritation cutanée :

    1. Rincez abondamment la peau à l’eau claire (10-15 minutes).

    2. Eloignez votre enfant des rayons du soleil.

    3. N’utilisez aucune pommade ou crème.

    En cas d’ingestion de plantes ou parties de celles-ci, la victime étant consciente :

    1. Enlevez immédiatement de la bouche les restes de la plante ingérée.

    2. Conservez-les.

    3. Faites boire beaucoup d’eau à votre enfant (pas d’eau salée qui pourrait provoquer d’autres symptômes d’empoisonnement et pas de lait).

    4. Ne le faites vomir que sur avis médical. Pour ce faire, faites-lui boire autant d’eau que possible, inclinez la tête vers l’avant, frottez le fond de la gorge avec un doigt emmailloté dans un linge propre.

    5. Donnez-lui un peu de charbon médicinal (également appelé charbon actif) qui peut s’obtenir en pharmacie. Mais mieux vaut en avoir dans votre pharmacie. Son pouvoir absorbant permettra de réduire la quantité de substances toxiques passant dans l’organisme.